Une ruche d'abeille. [Libre]

Après avoir négocier ma maison avec Tom Nook, j'ai décider de visiter plus Douville. Dès mon premier pas je vis de la verdure, des couleurs. C'était joyeux mais je ne vis aucun habitant. Il y avait un beau soleil, même si je préfère la pluie qui est si poétique. Les arbres regorgaient d'Orange que j'adorais et les soleil était à son zénith. Je m'approcha pour prendre un orange, je secoua l'arbre. Je regarda au sol et vis 3 oranges et ... une ruche d'abeilles, prêtes à me piquer. C'est , sans réfléchir que je pris mes jambes à mon coup laissant la bonne humeur derrière moi, j'avais peur. C'est là que je vis une maison, non loin de là je n'ai même pas hésiter à y aller la porte marron clair était juste derrière moi quand je suis entrée. La pièce m'était peu familière et quelqu'un s'y trouvait justement à l'intérieur, j'étais éssouflée j'eut juste le temps de souffler et là personne ne question se dressa près de moi, et d'un seul bond , me fixait d'un air enfantin...

J'avais peur et sans réfléchir je lui cria de fermer la porte. Les abeilles émirent un bourdonnement monstrueux qui me fit frémir, l'inconnue regardait par la fenêtre, contrairement à moi ça l'amusait, elle en tira un magnifique sourire enfantin. Devant moi se tenais une jeune fille de petite taille brune aux yeux marron qui brillaient. C'était le genre de personne à vous attirer confiance tout de suite mais pas à moi. Au contraire, je me méfiais de ce genre de personnes, trop heureuses pour être normales. Alors je la toisa et regardait plutôt la pièce. Très colorée, ça collait bien à sa personnalitée. Les murs étaient d'un rouge pastel, le sol était vert menthe. Je ne trouvait pas ça très beau, à vrai dire les couleurs flashy ne m'attirent guère. Elle me coupa dans mes pensée fit quelques pas vers moi en tramblotant (comme si je lui faisais peur)

« Salut ! Je m'appelle Mezou. » dit-elle en souriant bêtement.

Je ne savais pas trop quoi dire , son sourire révélait qu'elle attendait une réponse apparente. Je réfléchis quelques secondes en la regardant comme si elle se révélait être un zombie.
« Bonjour. » dis-je froidement avant de prononcer mon nom. « Clarisse. » balbutiai-je gênée.

Je lock.