Qu'arrive t-il à Ginette ?

Ce matin, je n'arrêtais pas de penser à ce soir. J'avais une soirée de prévue avec mon père, ma mère, et mon copain. Je devais les lui faire rencontrer. 1h passe, et je ne sais toujours pas ce que je vais porter. Soudain, quelqu'un frappe à la porte.

< Toc, toc, toc... >

Appeurée, je me dirigea lentement vers la porte... J'avais tellement peur que se sois mon copain, je ne voulais pas le voir maintenant. Puis il m'a dit qu'il passerait dans la journée avant ce soir. Je pris ma clef... Ouvrit doucement.

< Bon alors, tu te dépêches ! >

Oh, mais qui voilà ! Ma mère ! Je lui ouvrit sans attendre.

< Que fais-tu ici ? > Lui demandais-je.

Ma mère me regarda avec étonnement. Elle trouva quelque chose de bizarre, mais je ne sais quoi. Pourquoi me regarde t-elle comme ça ? 1 minute est passée... Et je m'attarde de lui demander pourquoi me regarde t-elle ainsi.

< Qui à t-il ? Pourquoi le regarde-tu ainsi ? >

Elle me répondit avec dédain.

< Ce sont tes yeux... Je n'ai jamais vu cette couleur horrible. >

Curieux... Une minute de silence pour ÇA ?

< Mes yeux ? Ma couleur ? Euh... >

Je trembla, car ma mère déteste les lentilles de couleurs. Ma mère me regarda froidement...

< Qu'à-tu fais encore une fois ?! > S'énerve t-elle.

< Et bien... J'ai décidé de me faire les yeux noirs. >

< Les yeux noires ?! Il faut à tout pris que tu enlèves ces lentilles. Ne trouves-tu pas t'es yeux d'un bleu magnifique ? Il y a des gens qui aimeraient avoir ta chance. >

Elle sortit son porte-feuille de son sac. J'ai sue qu'elle voulait que j'aille chez Ginette.

< Allez, vite ! Je te rappelle que pour retirer des lentilles, il faut exactement 3h. >

Il est midi, il faut que je me dépêche, car ensuite je dois filer chez les sœurs doigts de fée pour trouver la robe qui me conviendra le mieux. Arrivée devant le salon, j'ouvre petit à petit la porte pour ne pas la déranger. Tout-à-coup... Mais qu'est ce que je vois... Ginette endormi sur un siège. Je couru pour la réveiller.  

< Ginette ! Ginette ! Réveille toi ! >

Je ne crains qu'elle ai fait un malaise. Pour en être sûre, j'appela Marret et l'ambulance immédiatement.